Inès Arab
artiste visuelle terrienne
Inès Arab
artiste visuelle terrienne

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L’ st l d l p

(Entrée dans un monde où l’on nourrit l’âme et, par ricochet… la cellule.)

**********

 

Ce site n’est pas un écran.
C’est un refuge.
Un cycle, un souffle, une respiration. Art de paix.
Des toiles – portes spatio-temporelles autour.

Vous êtes sur le seuil d’un univers rare.
Refuge unique à l’esprit singulier et élégant, mais aussi un lieu de rencontre, chaleureux et accueillant. Parfois, comme à présent, Inès... elle parle d’elle-même à la troisième personne, afin de prendre un peu de distance, _

Elle écrit, compose ses textes comme une grande, avec son cœur, sa raison.
L’artiste visuelle Inès Arab est l’extension de son art.

Si votre cœur est ouvert, poussez la porte.


Ici, rien ne s’impose. Tout s’infuse.
On ne défile pas. On se laisse porter, comme apaisé.
Souhait : [Rêver sans culpabilité, guidé par la bienveillance de l’artiste-auteure qui veille.]
On ne consomme pas. On déguste du beau et de l’utile. C’est l’Art : l’art véritable apaise, éveille, élève.
Un présent à offrir, à emporter.
L’artiste Inès Arab y a mis tout son cœur, fil d’Ariane de l’enfance, à présent.
On s’assoit, on contemple, on sourit, on pleure, on émotionne, on vit, on part, on n’oublie pas.

On goûte le monde à travers la lumière, les images, les formes, les mots et les couleurs.                 On mange avec les yeux, on se nourrit le cœur, le corps et l’esprit. Merci à ces belles images d’exister, nourriture de la voie lactée.
On prend le temps.
On s’accorde une pause.
Contemplez le monde qui défile sous vos yeux.
Laissez vos pensées voyager.
Bonne dégustation.


Ce Menu n’est pas un menu déroulant.
C’est une invitation dressée pour les âmes,
où l’on peut s’asseoir un instant,
et peut-être se souvenir de ce qui compte.
Symbole(s) et Mot(s)
Ce lieu sans porte, sans mur inutile, a été façonné pour apaiser celles et ceux qui cherchent            
la paix, la beauté et l’harmonie intérieure.
Foi. Force. Je respire mieux. Le mauvais charme est rompu.
« C’est une évidence. »
« Parce qu’on ne sait pas de quoi est fait demain. »
Et peut-être ce jour, briller mais de façon naturelle, de l’extérieur.
Se nourrir de bonne nourriture, de bonnes images, d’essentiels, d’Éternel.

TheBroithers’s… chaque élément a été pensé seul, avec patience, avec foi, avec l’exigence de laisser chaque geste, chaque toile artistique, parler d’elle-même. Artisan de paix.
Ce lieu n’est le fruit d’aucune équipe, ni d’aucune stratégie.
« J’ai créé mes textes seule, accompagnée de ma bibliothèque intérieure en extension depuis toute petite, jusqu’à présent, et futur, je l’espère. Voilà pourquoi cet acte est rare, innocent, brut,   comme un bon fruit, denrées, nourritures, mets sans pesticides. »


… les adultes ont été des enfants. Il reste des adultes qui n’oublient pas le fil.
Sur le fil.


Quand est-ce que le monde va se réveiller et comprendre que dans l’Art, il y a, je pense, de véritables trésors qui nourrissent… Certains comprendront et s’entourent d’Art… véritable,     sans pesticide. Brut et innocent, à l’essentiel.


La publicité l’a compris, mondes d’images… mais à nous de choisir un minimum les images autour de nous.
L’Art peut faire du bien.


Chaque détail simple a été imaginé, façonné, ressenti dans le silence, durant un temps de solitude choisie, pensées agréables, avec la seule compagnie d’une force intérieure.
Une main. Un cœur. Une foi.
Cette artiste-auteure n’est pas née dans un monde d’algorithmes.
Elle a traversé la solitude sans devenir amère, aigrie.
Elle a gardé la gentillesse.
Elle a vécu des saisons sans bruit,
et pourtant, elle a conservé cette force :
l’envie d’aider, de construire, de nourrir l’âme. Les autres. Être un pont de paix, et un jour partir en paix en laissant vivre ce lieu.
Elle a aimé en silence,
et donné son corps avec foi.
Une pureté habitait ses gestes
que même les années n’ont pas défaits.


Ce lieu, site vitrine, est une première lecture.
Un espace posé.
Une nappe dressée.
Un parc gratuit, intouchable. Bon repos, bon rire, bonne réflexion (mais pas trop).
Il n’a pas été conçu pour impressionner, mais pour nourrir. On se nourrit pour le corps,  souvent par la bouche, mais parfois on oublie de nourrir l’esprit (l’intérieur) par les sens,      par les yeux. Images abstraites… messages… ponts de liberté. Rappel. Paix.
S’entourer d’art rare, c’est déjà avoir trouvé ce que d’autres cherchent.


Des toiles précieuses, des repas éternels, de secrets ponts spatio-temporels à leur juste… et humble valeur.
Paix, Résilience. Beauté
Mais surtout un geste :
un geste sans calcul et un geste utilisant le nombre d’or,
offert à celles et ceux qui savent encore regarder,
et prendre une heure pour eux-mêmes.


Vous y trouverez des toiles,
Mais surtout des tremplins, des portes spatio-temporelles,
des fenêtres vers l’intime, l’ailleurs, l’instant.
Une île pour l’âme,
où l’on contemple, médite, se souvient et grandit si on a de la chance.
Un espace rare,
pour celles et ceux qui savent encore écouter le silence et admirer la lumière.
Si vous êtes là,
c’est que vous avez entendu l’invitation.


À la carte
Nouveau voyage, nouvel écrin,
Inès Arab vous reçoit avec sincérité.
Elle cultive sa nuance, sa différence et même, discrète, travaillant sur son humilité, elle en a fait une marque française.

Elle crée la surprise en réveillant les courants oubliés,
en nous emmenant vers des terres intérieures, extérieures encore inexplorées.

L’art qui motive.
À l’orée de ce monde sensible,
elle voyage ou s’envole
vers des contrées créatives,
une bibliothèque intérieure en expansion infinie,
où chaque œuvre est une porte vivante. Convocation intérieure, appel, accueil.

Ici, chaque toile est un plat de force, de bienveillance.
On y goûte des parfums d’enfance, des éclats d’innocence, des collages, des pièces de tissus, des compositions savoureuses, sérieuses, flâne-précieuses, des essences fines donnant un toucher unique, haute couture.
Accessible-Inaccessible-Accessible.
À la carte, toute sa sensibilité s’écrit dans les matières,
dans la lumière, dans le silence, son Univers qu’elle vous partage enfin.

Des peintures respectueuses, mais la liberté jamais très loin, comme un enfant sauvage dont on pardonne l’innocence. Rare, on existe.

Atelier travaillant avec soin,
dans le respect de l’environnement, de l’humain et de l’ailleurs.
Elle ne calcule pas au millième près la touche d’orange, de bleu, de verts.                                 Mais travaille avec             
la règle et son ami le nombre d’or parfois ... Fibonacci,
C’est de la gastronomie du cœur, fil d’Ariane, s’accrocher à vouloir le bon, le bien, le beau jusqu’à son dernier souffle.
« Nous sommes tous uniques et portons en nous du TheBroithers’s. »
« Une passe décisive vers le bonheur. »
Comme elle le raconte avec conviction : de vive voix, par ses écrits aux proches comme aux lointains, et à travers son livre.


Mais pour goûter vraiment, il faut laisser ses habitudes sur le pas de la porte.
Il faut avoir le cœur ouvert.
Oser s’ouvrir.
Être prêt à ressentir.
À se déshabituer du bruit. Savourer la musique du silence
À se réaccorder à l’essentiel.


TheBroithers’s,
c’est un mélange entre sisters et brothers. Frères et sœurs de loin, d’humanité.
Trait-lien-passage, vérité.


Créatures des mondes visibles, invisibles dans ce refuge qui fait du bien.
Une famille invisible, un peuple de l’intérieur.
Des âmes reliées par le fil doux du sensible.
Des frères et des sœurs, féminin, masculin, deux grandes nuances, différences…
sans oublier les variantes de différentes nuances, car nous sommes tous, à notre manière,
des dessins animés de l’univers.
Et si vous êtes ici,
c’est que quelque chose en vous le sait déjà.


Inès Arab,
c’est une voix rare. Une artiste qui ne cherche ni à séduire ni à plaire, mais à dire vrai, avec douceur, exigence et lumière. Elle cultive la nuance comme un art.

Elle se tient là où peu osent rester :
au bord du silence,
à l’écoute du monde intérieur, à l’orée du mystère.
 La solitude l’a forgée, comme la tortue, un dragon-phœnix, elle se réveille. En campagne Belle,  les rêves débordant la réalité.

De la légende de Mulan, elle porte le feu discret, celui qui ne brûle pas pour plaire, mais qui éclaire pour durer. Son œuvre ne suit aucun courant, car elle en crée un :                         Fondatrice du mot inventé TheBroithers’s.
Inès, c’est une sœur d’humanité, une femme, une créature, un lien presque oublié… Rappel :
pourtant présent depuis les origines, rupestres et avant… Atmosphère... elle lui a donné un nom : courant, menu: le Déjà-vuism®.

 

Elle invente ses propres repères, ses propres gestes, ses propres mots. Elle crée une case qu’elle offre à elle-même et par ricochet, de bon cœur... au monde.

Ainsi, elle conseille, encourage les autres à sortir du cadre et à éveiller leur regard.
Elle ne s’inscrit pas dans les tendances, elle leur survit. Elle aurait pu être amie avec …, mais elle comprend Coco Chanel, cette jeune fille pauvre orpheline qui avait un rêve, Basquiat, Soulages, De Vinci, Walt Disney, R. L. Stine, Stephen King, Pamela L. Travers, Gaston Chaissac, Nicolas de Staël (né aussi un 5 janvier comme elle), la patience de Laurent Herschbach, et toutes les autres personnes inscrites dans son cœur en secret.


TheBroithers’s est une marque française depuis 2023, symbole de fraternité, de sororité, poésie,
d’élégance rare, racée, agréable, hymne de paix.
Face aux solitudes (choisies ou non) face aux persécutions, aux injustices, aux blessures,           aux pollutions (de l’air, des eaux, des esprits, des liens), elle s’élève. C’est la main, la tranquillité tendue aux âmes sensibles, aux rêveurs debout, à celles et ceux qui savent encore écouter le bruissement d’une rivière ancienne, le chant des oiseaux et s’entourer de plus que du beau…       

se rappeler que l’art peut réchauffer,
consoler, éveiller. Humer la saveur originelle de la vraie vie.


« Quand tu boiras à la rivière du silence, alors seulement tu chanteras. » (Phrase écrite par mon confrère, car étant bien dans ma peau, droite dans mes bottes, je cite l’auteur lorsque cela ne vient pas de moi) « Quand tu boiras à la rivière du silence, alors seulement tu chanteras. »

(Écrit par ce confrère, créature dessinée par l’univers, humaine, née sur la Terre au Liban, le poète
Khalil Gibran tiré de The Prophet… dont le poème est aussi inscrit sur la tombe d’un humain
qu’elle appréciait, …Heath Ledger.)
 

Réponse
Inès Arab ne s’impose pas.
Elle ne sait pas mentir en mal, mais elle sait et essaie de protéger le bien.
Elle irradie douce-vrai.
Et c’est précisé-vrai … ce qui la rend

inoubliable.


Bonne dégustation…
(et douce expansion)

Texte de Inès Arab, car même avec peu au départ pour créer TheBroithers’s comme Gabrielle Coco Chanel et Walt Disney et d’autres artistes (vrai)…, on trouve toujours le moyen de se retrousser les manches comme la légende de Mulan, Madame Erin Gruwell (Écrire pour exister), Erin Brockovich etc., pour protéger la vérité et alléger le cœur des gens, de soi. Ne pas leur mentir et qu’ils sachent, ces gens-là, la vérité, qui a fait quoi.


Le cœur des gens est la plus belle des caméras. Silencieuse, intouchable, tranchante. Gourmande. Et pour que ce jour compte…

Liberté
 

Bonne dégustation…
(et douce expansion)

L’ st l d l p

(Entrée dans un monde où l’on nourrit l’âme et, par ricochet… la cellule.)
*********

Ce site n’est pas un écran.

C’est un refuge.

Un cycle, un souffle, une respiration. Art de paix.

Des toiles – portes spatio-temporelles autour.

Vous êtes sur le seuil d’un univers rare. Refuge unique à l’esprit singulier et élégant, mais aussi un lieu de rencontre, chaleureux et accueillant.

Si votre cœur est ouvert, poussez la porte.


Ici, rien ne s’impose. Tout s’infuse.

On ne défile pas. On se laisse porter, comme Apaiser.

Souhait : [Rêver sans culpabilité, guidés par la bienveillance de l’écrivain-auteure qui veille.]

On ne consomme pas. On déguste du beau et de l’utile. C’est l’Art : l’art véritable apaise, éveille, élève.

Un présent à offrir, à emporter.

L’artiste Inès Arab y a mis tout son cœur, fil d’Ariane de l’enfance à présent.

On s’assoit, on contemple, on sourit, on pleure, on émotionne, on vit, on part, on n’oublie pas.

On goûte le monde à travers la lumière, les formes et les couleurs.

On mange avec les yeux, on se nourrit le cœur, le corps et l’esprit. Merci à ces belles images

d’exister, nourriture de la voie lactée.

On prend le temps.

On s’accorde une pause.

Contemplez le monde qui défile sous vos yeux.

Laissez vos pensées voyager.

Bonne dégustation.


Ce Menu n’est pas un menu déroulant.
C’est une invitation dressée pour les âmes,
où l’on peut s’asseoir un instant,
et peut-être se souvenir de ce qui compte.
Symbole(s) et Mot(s)
Ce lieu sans porte, sans mur inutile, a été façonné pour apaiser celles et ceux qui cherchent
la paix, la beauté et l’harmonie intérieure.
Foi. Force. Je respire mieux. Le mauvais charme est rompu.
« C’est une évidence. »
« Parce qu’on ne sait pas de quoi est fait demain. »
Et peut-être ce jour, briller mais de façon naturelle, de l’extérieur.
Se nourrir de bonne nourriture, de bonnes images, d’essentiels, d’Éternel.
TheBroithers’s… chaque élément a été pensé seul, avec patience, avec foi, avec l’exigence de
laisser chaque geste, chaque toile artistique, parler d’elle-même. Artisan de paix.
Ce lieu n’est le fruit d’aucune équipe, ni d’aucune stratégie.
« J’ai créé mes textes seule, accompagnée de ma bibliothèque intérieure en extension depuis toute
petite, jusqu’à présent, et futur, je l’espère. Voilà pourquoi cet acte est rare, innocent, brut,
comme un bon fruit, denrées, nourritures, mets sans pesticides. »
… les adultes ont été des enfants. Il reste des adultes qui n’oublient pas le fil.
Sur le fil.

Quand est-ce que le monde va se réveiller et comprendre que dans l’Art, il y a, je pense, de
véritables trésors qui nourrissent… . Certains comprendront et s’entourent d’Art… véritable,
sans pesticide. Brut et innocent, à l’essentiel.
La publicité l’a compris, mondes d’images… mais à nous de choisir un minimum les images
autour de nous.
L’Art peut faire du bien.
Chaque détail simple a été imaginé, façonné, ressenti dans le silence, durant un temps de solitude
choisie, pensées agréables, avec la seule compagnie d’une force intérieure.
Une main. Un cœur. Une foi.
Cette artiste-auteure n’est pas née dans un monde d’algorithmes.
Elle a traversé la solitude sans devenir amère, aigre.
Elle a gardé la gentillesse.
Elle a vécu des saisons sans bruit,
et pourtant, elle a conservé cette force :
l’envie d’aider, de construire, de nourrir l’âme. Les autres. Être un pont de paix, et un jour partir
en paix en laissant vivre ce lieu.
Elle a aimé en silence,
et donné son corps avec foi.
Une pureté habitait ses gestes
que même les années n’ont pas défaits.


Ce lieu, site vitrine, est une première lecture.
Un espace posé.
Une nappe dressée.
Un parc gratuit, intouchable. Bon repos, bon rire, bonne réflexion (mais pas trop).
Il n’a pas été conçu pour impressionner, mais pour nourrir. On se nourrit pour le corps, souvent
par la bouche, mais parfois on oublie de nourrir l’esprit (l’intérieur) par les sens, par les yeux.
Images abstraites… messages… ponts de liberté. Rappel. Paix.
S’entourer d’art rare, c’est déjà avoir trouvé ce que d’autres cherchent.
Des toiles précieuses, des repas éternels, de secrets ponts spatio-temporels à leur juste… et
humble valeur. Paix, Résilience. Beauté
Mais surtout un geste :
un geste sans calcul et un geste utilisant le nombre d’or,
offert à celles et ceux qui savent encore regarder,
et prendre une heure pour eux-mêmes.


Vous y trouverez des toiles,
Mais surtout des tremplins, des portes spatio-temporelles,
des fenêtres vers l’intime, l’ailleurs, l’instant.
Une île pour l’âme,
où l’on contemple, médite, se souvient et grandit si on a de la chance.
Un espace rare,
pour celles et ceux qui savent encore écouter le silence et admirer la lumière.
Si vous êtes là,
c’est que vous avez entendu l’invitation.



À la carte
Nouveau voyage, nouvel écrin,
Inès Arab vous reçoit avec sincérité.
Elle cultive sa nuance, sa différence et même, discrète, travaillant sur son humilité, elle en a fait
une marque française.
Elle crée la surprise en réveillant les courants oubliés,
en nous emmenant vers des terres intérieures, extérieures encore inexplorées.
L’art qui motive.
À l’orée de ce monde sensible,
elle voyage ou s’envole
vers des contrées créatives,
une bibliothèque intérieure en expansion infinie,
où chaque œuvre est une porte vivante. Convocation intérieure, appel, accueil.
Ici, chaque toile est un plat de force, de bienveillance.
On y goûte des parfums d’enfance,
des éclats d’innocence,
des collages, des pièces de tissus, des compositions savoureuses, sérieuses, flâne-précieuses,
des essences fines donnant un toucher unique, haute couture.
Accessible-Inaccessible-Accessible.
À la carte, toute sa sensibilité s’écrit dans les matières,
dans la lumière, dans le silence, son Univers qu’elle vous partage enfin.
Des peintures respectueuses, mais la liberté jamais très loin, comme un enfant sauvage dont on
pardonne l’innocence. Rare, on existe.
Atelier travaillant avec soin,
dans le respect de l’environnement, de l’humain et de l’ailleurs.
Elle ne calcule pas au millième près la touche d’orange, de bleu, de verts. Mais travaille avec
la règle et son ami le nombre d’or parfois.
C’est de la gastronomie du cœur, fil d’Ariane, s’accrocher à vouloir le bon, le bien, le beau jusqu’à
son dernier souffle.
« Nous sommes tous uniques et portons en nous du TheBroithers’s. »
« Une passe décisive vers le bonheur. »
Comme elle le raconte avec conviction : de vive voix, par ses écrits aux proches comme aux
lointains, et à travers son livre.
Mais pour goûter vraiment, il faut laisser ses habitudes sur le pas de la porte.
Il faut avoir le cœur ouvert.
Oser s’ouvrir.
Être prêt à ressentir.
À se déshabituer du bruit. Savourer la musique du silence
À se réaccorder à l’essentiel.


TheBroithers’s,
c’est un mélange entre sisters et brothers. Frères et sœurs de loin, d’humanité.
Trait-lien-passage, vérité.
Créatures des mondes visibles, invisibles dans ce refuge qui fait du bien.
Une famille invisible, un peuple de l’intérieur.
Des âmes reliées par le fil doux du sensible.
Des frères et des sœurs, féminin, masculin, deux grandes nuances, différences…
sans oublier les variantes de différentes nuances, car nous sommes tous, à notre manière,
des dessins animés de l’univers.
Et si vous êtes ici,
c’est que quelque chose en vous le sait déjà.


Inès Arab,
c’est une voix rare. Une artiste qui ne cherche ni à séduire ni à plaire, mais à dire vrai,                                   

avec douceur, exigence et lumière.
Elle cultive la nuance comme un art.
Elle se tient là où peu osent rester :
au bord du silence,
à l’écoute du monde intérieur, à l’orée du mystère.
La solitude l’a forgée, comme la tortue et aujourd’hui comme le dragon-phœnix, elle se réveille,
belle au bois dormant, campagne Belle, les rêves débordant la réalité.

Son œuvre ne suit aucun courant, car elle en crée un. C’est la petite sœur, le petit frère oublié.
Pourtant présent depuis les origines, rupestres et avant… elle lui a donné un nom : courant,
menu, le Déjavuism®.
Elle invente ses propres repères, ses propres gestes, ses propres mots. Elle crée une case qu’elle
offre à elle-même et par ricochet, de bon cœur au monde.
Elle ne s’inscrit pas dans les tendances, elle leur survit. Elle aurait pu être amie avec …, mais elle
comprend Coco Chanel, cette jeune fille pauvre orpheline qui avait un rêve, Basquiat, Soulages,
De Vinci, Walt Disney, R. L. Stine, Stephen King, Pamela L. Travers, Gaston Chaissac, Nicolas
de Staël (né aussi un 5 janvier comme elle), la patience de Laurent Herschbach, et toutes les
autres personnes inscrites dans son cœur en secret.
TheBroithers’s est une marque française depuis 2023, symbole de fraternité, de sororité, poésie,
d’élégance rare, racée, agréable, hymne de paix.
Face aux solitudes (choisies ou non) face aux persécutions, aux injustices, aux blessures, aux
pollutions (de l’air, des eaux, des esprits, des liens), elle s’élève. C’est la main, la tranquillité tendue
aux âmes sensibles, aux rêveurs debout,
à celles et ceux qui savent encore écouter le bruissement d’une rivière ancienne,
le chant des oiseaux et s’entourer de plus que du beau… se rappeler que l’art peut réchauffer,
consoler, éveiller. Humer la saveur originelle de la vraie vie.
« Quand tu boiras à la rivière du silence, alors seulement tu chanteras. » (Phrase écrite par mon
confrère, car étant bien dans ma peau, droite dans mes bottes, je cite l’auteur lorsque cela ne vient
pas de moi)
« Quand tu boiras à la rivière du silence,
alors seulement tu chanteras. »
(Écrit par ce confrère, créature dessinée par l’univers, humaine, née sur la Terre au Liban, le poète
Khalil Gibran tiré de The Prophet… dont le poème est aussi inscrit sur la tombe d’un humain
qu’elle appréciait, …Heath Ledger.)

Réponse
Inès Arab ne s’impose pas.
Elle ne sait pas mentir en mal, mais elle sait et essaie de protéger le bien.
Elle irradie douce-vrai.
Et c’est précisé-vrai … ce qui la rend
inoubliable.


Bonne dégustation…
(et douce expansion)
Texte de Inès Arab, car même avec peu au départ pour créer TheBroithers’s comme Gabrielle
Coco Chanel et d’autres…, on trouve toujours le moyen de se retrousser les manches comme la
légende de Mulan, Madame Erin Gruwell (Écrire pour exister), Erin Brockovich etc., pour protéger
la vérité et alléger le cœur des gens, de soi. Ne pas leur mentir et qu’ils sachent, ces gens-là, 
la vérité, qui a fait quoi.
Le cœur des gens est la plus belle des caméras. Silencieuse, intouchable, tranchante. Gourmande.
Et pour que ce jour compte…
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